Huel a annoncé une amélioration de sa recette, qui concerne les graines de lin : celles-ci seront dorénavant broyées plus finement. Finies les graines entières. Jusqu’à présent, elles étaient ainsi fournies pour éviter qu’elles ne s’oxydent. Car le lin moulu, riche en bonnes huiles, s’oxyde au contact de l’air, et prend un goût rance. C’est donc ces graines qu’on voyait en suspension dans la préparation.

Mais voilà, certains utilisateurs s’étaient plaints que les graines de lin entières leur restaient parfois en travers de la gorge, ou se bloquaient entre leurs dents, les pauvres bichounets. Huel s’est donc penché sur cet épineux problème et a choisi de les broyer plus finement et d’appliquer, dans la chaîne de production, un tamis aux mailles plus resserrées (l’industrie mesure ça en mesh). Et assure, sans plus d’explication, qu’il n’y aura pas de phénomène d’oxydation.

Le bénéfice immédiat est une poudre plus homogène et une préparation plus douce en bouche, mais aussi une couleur un peu plus sombre – puisque l’enveloppe noire des graines est maintenant mieux mélangée au reste de la poudre. Et tant pis, donc, pour ceux qui aimaient bien, justement, avoir ces petites graines à croquer.

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